samedi 26 août 2017

Les Lumières de Cape Cod - Beatriz Williams

Les Lumières de Cape Cod, 
De Beatriz Williams, 
Publié aux éditions Belfond, 
Roman contemporain
400 pages, 
21 € 

Quatrième de couverture : 

1966, Cape Cod. 
Christina, alias "Tiny", est la troisième soeur de la famille Schuyler, la plus élégante, la plus parfaite. Mariée à Frank Hardcastle, homme politique très influent, Tiny mène une vie de galas et de cocktails dans les jardins cossus de Cape Cod. Mais cette vie aux apparences idylliques est bientôt troublée par plusieurs évènements, alors que Frank est donné favori pour l'élection présidentielle : ce sont d'abord les courriers menaçants d'un maitre chanteur, puis les retrouvailles inattendues avec le vétéran Caspian Harrisant, de retour de la guerre du Vietnam. Avec ce premier amour qui réapparait, c'est tout le passé de Tiny qui ressurgit. Un passé bien moins lisse qu'il n'y paraît, fait de passion, de mensonges et de drames. Et dont l'écho, s'il venait à gronder, pourrait nuire à la réputation irréprochable de toute la famille Hardcastle... 

Mon avis : 

Pourquoi ce livre ? 

3ème lecture pour Le Cercle Belfond, ce roman me faisait particulièrement envie au vu des avis sur le premier roman de la saga :  La Vie Secrète de Violet Grant. Que je n'ai pas encore découvert mais qui va rejoindre à coup sur ma bibliothèque.
Merci Belfond ! 

Un roman comme je les aime : 

J'ai su tout de suite que ce roman allER me plaire. Les bases du romans sont posés tout de suite et j'ai su que j'allais être impatiente de connaître l'histoire de Tiny. Même si je me doutais de l'histoire, l'auteure à eu le pouvoir de me faire aimer les détails de son histoire. 

Tiny est une jeune femme, mariée à un homme politique dans les années 60. Le décor et cette époque me fascinent beaucoup. Et Tiny a su refléter à la perfection ce que j'avais vu des années 60 : les femmes commencent à avoir leur place au sein de la société.
Son personnage m'a plu, fascinée et j'ai eu beaucoup d'empathie pour cette jeune femme qui voit sa vie bouleversée petit à petit.

Les chapitres s'alternent entre 1966 du point de vue de Tiny et 1964 où j'ai appris à découvrir Caspian un jeune homme qui est éprit d'une jeune femme fiancée, mais qui va partir pour la guerre du Vietnam. Caspian que nous retrouvons en 1966, blessé de guerre et qui va devoir recroiser le regard de Tiny. 

Outre un premier amour qui réapparaît l'auteure à su pointer du doigt pas mal de thème passionnant. Je me suis parfois cru dans un épisode d'House of Cards avec les méfaits, la cruauté et les dessous de la politique menée d'une main de maître par une famille très influente, la famille Hardcastle.. . 

Le mot de la fin : 

L'écriture de l'auteure est si agréable qu'il est difficile de lâcher ce roman ainsi que Tiny, Caspian, Pepper et les autres. Une saga familiale que j'ai apprécié découvrir cet été.

Ma note : 4/5 

lundi 14 août 2017

Mémé Dans Les Orties - Aurélie Valognes

Mémé Dans Les Orties, 
D'Aurélie Valognes, 
Publié aux éditions Le Livre de Poche, 
Roman Contemporain, 
254 pages, 
7 € 10. 

Quatrième de couverture : 

Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre -certains diraient : seul, aigri, méchant-, s'ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps  ? Eviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d'escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie... jusqu'au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 92 ans forcent littéralement sa porte, et son coeur. 

Mon avis : 

Pourquoi ce livre ? : 

C'est au détour du salon Saint Maur en Poche que Fiona m'a fortement conseillé la plume d'Aurélie Valognes, que j'ai d'ailleurs pu rencontrer. Une très jolie rencontre qui a su me toucher... 

Une lecture qui se dévore : 

J'avais besoin d'un roman sans prise de tête et qui se lit tout seul, très bonne pioche ! 
Comme le dit le résumé nous suivons Ferdinand vieil homme vivant dans un immeuble et qui ne supporte pas grand chose ... Mise à part sa chienne et embêter ses voisines... Alors quand sa chienne 
disparaît et que sa fille le menace de maison de retraite, celui-ci fait la promesse de s'assagir -*ou pas*- 

L'écriture d'Aurélie Valognes m'a tout de suite conquise. Je me suis sentie bien à ses côtés tout au long de ma lecture. Un humour décapant qu'elle maîtrise à la perfection grâce à l'enveloppe de Ferninand 83 ans. J'ai pu retrouver des situations vécues lors de mes journées de travail, je n'ai pu qu'aimer. 
On associe souvent les personnes âgées comme recroquevillé dans leurs fauteuils, perdant appareils dentaires ou lunettes. Aurélie Valognes nous dresse un tout autre visage de ce que peuvent être les personnes âgées. 

Mais c'est aussi une belle rencontre inter-générationnelle qui a fait la force de cette lecture et qui a su me toucher et faire que Ferdinand soit encore plus touchant, grâce à une petite fille qui sait ce qu'elle veut. Une rencontre explosive mais pleine de bons sentiments. 

Le mot de la fin : 

Un joli cocktail pétillant qui fait passer un agréable moment, je ne peux que vous conseiller cette lecture. 

Ma note : 4/5 

vendredi 4 août 2017

L'Adoption Tome 2 - Zidrou & Monin

L'adoption Tome 2 - La Garúa,
Scénario de Zidrou, 
Dessins et Couleurs Arno Monin, 
Aux éditions Grand Angle, 
72 pages, 
14 € 90 

Quatrième de couverture : 

Qinaya est repartie. Ses parents adoptifs arrêtés pour enlèvements, la petite fille a été renvoyée par les services sociaux dans son Pérou natal. 

Après un an et demi de recherches, Gabriel, son "grand-père" de France, se rend à Lima pour la retrouver. Mais le vieux bourru va aller de désillusion en désenchantement. Car en 18 mois, la petite a changé, elle a grandi... et elle a oublié son séjour en France. Elle a oublié son "achachi", son grand-père... 

Mon avis : 

Pourquoi cette BD ? :

Je l'attendais avec impatience, la fin du tome 1 m'avait tant émue et avait été un gros coup de coeur. J'avais hâte de savoir la suite, et bien la voici ! 

De jolis dessins, mais un petit goût de déception : 

C'était la BD que j'attendais, je m'y suis plongée avec bonheur, mais je ne m'attendais pas du tout à ceci. 
Rien à redire sur les dessins qui sont toujours aussi beaux, couleurs pastel, que j'ai contemplées avec admiration. 
Le scénario nous emmène au Pérou où Gabriel, le papi grognon que j'ai adoré dans le tome 1 part à la recherche de Qinaya, son petit nuage. 
Je ne pensais pas que le récit allait prendre cette tournure là (je ne souhaite pas en dire plus de peur de vous spoiler), je ne m'attendais pas à ça, et je suis ressortie déçue de ma lecture. 

Ce n'est pas la première fois que j'ai ce sentiment et je me dis que j'attendais peut être trop, et dans ma tête ça ne pouvait être autrement que ce que j'avais imaginé. 
Car la morale de ce tome 2 est très belle en y réfléchissant bien, mais elle me laisse un goût amer. 

Le mot de la fin : 

Si vous attendez une fin précise, j'espère que vous ne serez pas autant déçu que moi. Mais laissez-vous emporter par les jolis paysages du Pérou. 

Ma note : 2/5

lundi 31 juillet 2017

La Mélodie des Jours - Lorraine Fouchet

La Mélodie des Jours, 
De Lorraine Fouchet, 
Publié aux éditions J'ai Lu, 
Roman contemporain, 
378 pages, 
6 € 95 

Quatrième de couverture : 

Aujourd'hui, on guérit du cancer du sein s'il est pris à temps. C'est du moins ce qu'on dit à Lucie... Mais lorsqu'on est maman célibataire d'une petite Léa de onze ans, et qu'on ses retrouve seule dans une ville où on ne connaît personne, où trouver le soutien nécessaire ? Sur le Site des Voisins, Lucie découvre, à travers les messages des uns et des autres, une solidarité insoupçonnée. Notamment Charlie, le mystérieux inconnu dont les messages provocants ou drôles l'encouragent chaque jour sur le chemin de la guérison. 

Mon avis : 

Pourquoi ce livre ? 

Lorraine Fouchet c'est Fiona qui me l'a fait découvrir, et j'ai eu la chance de la revoir avec Fiona au salon Saint Maur en Poche. Un beau moment. Lorraine Fouchet a le don, à chaque rencontre, de vous faire pétiller le coeur... 

Une jolie lecture, qui fait du bien : 

Ici j'ai pu faire la rencontre de Lucie qui élève seule sa fille et qui découvre avoir un cancer du sein. Elle tient un magasin de fromages et n'a pas de personnes à qui se confier. Alors quand elle apprend qu'elle est malade, elle va sur le site des voisins, le site où tout le monde va. 
Elle va y faire la connaissance de Corsica, Maldive, Hafez, Arobase, Navire et Charlie. Et va se confier peu à peu à chacun. Mais Lucie alias Mouette va tomber sous le charme de la plume de Charlie, qui sait la réconforter. 

Comment ne pas s'attacher à Lucie ? Lorraine Fouchet, ici nous parle d'un sujet délicat : le cancer. Met elle va tout mettre en oeuvre pour que son personnage se sente mieux et va la faire évoluer avec des personnages attachants, avec des belles valeurs et qui vont tous lui apporter quelque chose de positif. Un très beau message, d'entraide d'amitié et de solidarité. 
J'ai été très touché par le personnage -secondaire dans le roman- de Darius, un infirmier grec client de Lucie.

Le format du roman est très intéressant chaque chapitre donne la parole à un personnage différent. J'aime beaucoup cette mise en page, je trouve que l'on s'attache plus aux personnages. Et l'auteure m'a émue avec les chapitres de Lucie, cette dernière  raconte ce qu'elle vit, ce qu'elle ressent à sa fille Léa, comme si elle lui écrivait, comme si elle lui parlait. J'ai trouvé ça tellement touchant et beau. 


Le mot de la fin : 

Lorraine Fouchet a le don, à travers ses mots de vous faire pétiller le coeur. 

Ma note : 4/5

mercredi 5 juillet 2017

Hibakusha - Cinna & Barboni

Hibakusha, 
Scénario de Thilde Barboni,
Dessin, couleur et mise en scène Olivier Cinna, 
Publié aux éditions Dupuis, 
64 pages, 
16 € 50. 

Quatrième de couverture : 

C'est une histoire d'amour. Pas au bon moment, pas au bon endroit. Ludwig est Allemand, elle est Japonaise. Ils se lient pour l'éternité en 1945 à Hiroshima. Depuis cette date, "hibakusha" est le nom donné aux survivants des attaques nucléaires américaines sur les villes de Nagasaki et d'Hiroshima. Témoins éternels de l'horreur. Mais au-delà de l'Histoire, de ses aléas, de ses drames et de ses déchirements, cet album pose les questions de l'instant d'après... 
Que reste-t-il de la vie d'un homme, de ses engagements, de ses manquements, de ses fautes ? Que reste-t-il de ses émotions, de ses amitiés, de ses amours ?

Mon avis : 

Pourquoi cette BD ? : 

Je remercie les éditions Dupuis, pour l'envoi de cette BD, qui m'a tout de suite faite envie par son résumé et sa couverture. 

Des dessins époustouflants et une histoire magnifique :

On a tous entendu parler des attaques nucléaires d'Hiroshima et de Nagasaki, dans Hibakusha, Thilde Barboni et Olivier Cinna nous transmette une magnifique histoire. Je dois avouer que si j'aime apprendre des choses sur cette période historique, je connais peu de choses sur ces attaques et cette BD m'en a fait bien prendre conscience et j'ai voulu à la suite de cette lecture en apprendre plus. Pour ne pas oublier.

Cette une magnifique histoire d'amour , impossible, entre une Japonaise et un traducteur Allemand. La guerre est là, elle touche à sa fin, et Ludwig est envoyé au Japon, il y fait la rencontre d'une Japonaise, masseuse et c'est le coup de foudre. Mais l'Allemagne capitule et la sécurité de Ludwig est en danger...

C'est un magnifique conte qui nous est dévoilé, la fin m'a donné les larmes aux yeux, m'a coupé le souffle. Les dessins traduisent à merveille le récit, ils donnent du mouvement à l'histoire ce qui la rend encore plus touchante. 


Le mot de la fin : 

Une BD, à découvrir et qui ne s'oublie pas. 

Ma note : 5/5 


mardi 4 juillet 2017

Les Jonquilles de Green Park - Jérôme Attal

Les jonquilles de Green Park, 
De Jérôme Attal, 
Publié aux éditions Pocket, 
Roman Contemporain, 
190 pages, 
6 € 30. 

Quatrième de couverture : 

Londres, 1940. Chez les Bradford, le Blitz n'empêche pas la vie de continuer. Ni le père d'inventer des choses les plus farfelues (un tatou géant!), ni la mère de pédaler jusqu'à son usine en chantant sous les bombes, ni la soeur de tomber amoureuse, encore et encore de Clark Gable... Quant à Tommy, 13 ans, il ne vit que pour rigoler avec les copains, se gaver de comics books et considérer Churchill comme une sorte de Superman-sur-Tamise. Noël approche, les sirène hurlent. Reverra-t-il un jour fleurir les jonquilles de Green Park et, surtout, les si jolis yeux de Mila Jacobson ? 

Mon avis : 

Pourquoi ce livre ? : 

Comme d'habitude, Fiona a eu raison de moi. Nous étions au salon du livre Saint-Maur en Poche et elle m'a dit qu'elle souhaité voir Jérôme Attal, et que son livre allait me plaire. Elle m'a lu le résumé et à chaque mot qu'elle prononcée, je savais qu'elles allaient me plaire les jonquilles. Tu te souviens ? <3 Merci. 
Que dire de la rencontre avec Jérôme Attal ? Si vous avez la chance de le rencontrer, foncer ! 

Une belle découverte : 

J'aime les romans sur la Seconde Guerre Mondiale, ce n'est un secret pour personne. Mais je n'ai jamais lu de livre dont le personnage principal est un jeune homme de 13 ans. Jérôme Attal mais en scène Tommy 13 ans, qui a les rêves d'un garçon de son âge. Il a des copains, et amoureux de la plus jolie fille de son école, il collectionne les timbres et sa famille est bizarre. Sauf qu'il vit à Londres en 1940 sous les bombes. Mais est-ce-que ça empêche de rêver ? D'espérer ? Et de continuer ? 

Je me suis tout de suite attachée à Tommy et ses péripéties.Il  m'a faite rigoler par son innocence, sa justesse et sa vision des choses, il m'a aussi ému, lui et sa famille. En fait j'ai retrouvé dans l'écriture de l'auteur, l'auteur -vous avez le droit de me penser folle- mais je vous assure que si vous avez eu la chance de le rencontrer ou que si vous le rencontrez vous comprendrez.  Son écriture est comme lui, attachante et on le retrouve dans son écriture. 
En fait j'avais l'impression que c'était Jérôme Attal qui me racontait l'histoire. 
A noter : le récit est très riche et j'ai appris beaucoup de choses. 

Même si le roman se passe en 1940, je me suis sentie concernée avec l'actualité malheureuse de notre monde et j'ai ressentie un message d'espoir à travers ce roman. 
La fin m'a tellement émue qu'elle m'a donné qu'une envie :  voir un jour les jonquilles de Green Park. 

Le mot de la fin : 

Un roman émouvant, drôle, poétique, à savourer, si vous ne l'avez pas encore fait ! 

Ma note : 4/5 

mardi 27 juin 2017

Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie - Virginie Grimaldi

Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie, 
De Virginie Grimaldi, 
Publié aux éditions Fayard, 
Roman Contemporain, 
459 pages, 
19 € 

Quatrième de couverture : 

"Je ne t'aime plus."
Il aura suffi de cinq mots pour que l'univers de Pauline bascule. Installée avec son fils de quatre ans chez ses parents, elle laisse les jours s'écouler en attendant que la douleur s'estompe. Jusqu'au moment où elle décide de reprendre sa vie en main. 
Si les sentiments de Ben se sont évanouis, il suffit de les ranimer. Chaque jours, elle va donc lui écrire un souvenir de leur histoire. Mais cette plongée dans le passé peut faire resurgir les secrets les plus enfouis. 

Mon avis : 

Une lecture pleine d'espoir : 

Je ne pensais pas lire tout de suite ce roman. J'ai lu le deuxième roman de l'auteure il y a peu, j'ai bien aimé (préparé les tomates) mais sans plus. Et je ne savais pas si je devais retenter avec la plume de l'auteure. C'était sans compter sur l'avis de Fiona qui a tellement aimé qu'elle m'a convaincue de le lire dans la minute. 
J'ai pu aussi rencontrer l'auteure ce weekend au salon du livre Saint-Maur en poche et ce fut une jolie rencontre, pleine de sourires. 

C'est un roman plein d'espoir et qui fait du bien. Le mari de Pauline vient de partir, elle est effondrée mais elle ne veut pas y croire. Après tout ce qu'ils ont vécu, cette belle histoire d'amour ne peut être finie. Alors elle décide d'écrire cette histoire qui peu à peu devient bouleversante pour nous lecteurs. 

Autant le mentionner tout de suite, ce n'est pas un coup de coeur, mais une jolie lecture, qui tombe très bien dans ma vie. Si le titre ne m'a pas parlé tout de suite, j'ai mieux compris son sens à la fin de ma lecture (et je viens même de l'écrire dans mon carnet à citation). Je n'aime pas comparer un livre à un autre, mais j'ai beaucoup plus apprécié l'écriture de Virginie Grimaldi dans ce roman si, que dans le précédent. J'ai ressentie qu'elle avait quelque chose à nous dire. 

Le cheminement que l'auteure donne à ses personnages est très intéressant, et le fait de jongler du passé au présent donne quelque chose en plus à la lecture. Des passages courts, mais qui donne la dose nécessaire d'émotions, et qui m'ont donné envie d'en savoir plus. J'avais envie que Pauline et Jules soient heureux. 

La fin m'a beaucoup émue, le dernier chapitre m'a convaincue, l'auteure n'est pas tombé dans le pathos du tout au contraire. J'ai aimé profondément sa fin, mais il m'a manqué ce petit quelque chose, qui fait que ce n'est pas un coup de coeur. 

Le mot de la fin : 

Une lecture qui m'a fait du bien, pleine d'espoir et d'amour. 

Ma note : 4/5